Du 14 au 16 février 2025, l’ACTA et des représentants d’associations provinciales et territoriales se sont réunis à Calgary pour la deuxième retraite de la Communauté des communautés, une fin de semaine énergisante qui a permis de renouveler l’orientation stratégique du mouvement canadien des troubles d’apprentissage.
Ensemble, nous avons relevé des défis majeurs concernant la visibilité nationale, la pérennité du financement et le rayonnement. Nous avons reconnu l’importance de rafraîchir les messages, de renforcer les partenariats et d’accroître l’engagement sur les médias sociaux. Les troubles d’apprentissage ont des répercussions sur la vie de nombreuses personnes et de leurs familles partout au Canada, et l’ACTA a donc déterminé la nécessité d’harmoniser clairement son langage avec la compréhension du public. Nous avons continué d’explorer les possibilités d’événements nationaux, de programmes de donateurs et de partenariats avec des entreprises afin de continuer à défendre et à soutenir les personnes vivant avec des troubles d’apprentissage et celles qui travaillent dans le domaine des troubles d’apprentissage.
Un fait saillant important a été la décision de relancer la conférence nationale de l’ACTA en format virtuel, la rendant ainsi plus accessible aux éducateurs de tout le pays. Parallèlement, l’ACTA lancera un nouvel événement national de collecte de fonds à l’occasion du mois de sensibilisation aux troubles de l’apprentissage en octobre.
La retraite a confirmé une chose : l’ACTA et son réseau avancent ensemble, avec clarté, énergie renouvelée et un engagement commun à améliorer la vie de toutes les personnes vivant avec des troubles d’apprentissage.







“Nous avons distribué « Born to be me! (version anglaise) » aux familles des élèves de 6e et 7e année pour que parents et enfants puissent lire les témoignages et expériences de Canadiens atteints de troubles d’apprentissage. Le livre peut aider les individus à améliorer leur perception de soi, leur estime de soi et leur confiance en eux.”
Malgré les progrès, obtenir les services et outils nécessaires pour l’éducation reste difficile pour les parents et les jeunes adultes ayant des troubles d’apprentissage. Les adultes qui travaillent ont aussi du mal à parler de leurs troubles par peur des conséquences négatives.