“Joyeux février !” n’est pas une salutation typique, étant donné que février a été élu le pire mois le plus morose de l’année, dans une multitude de sondages d’opinion populaires (et pas très populaires) au cours de la dernière décennie. C’est notre dernier mois complet d’hiver et bien qu’il semble parfois être le mois le plus long, février est notre mois le plus court et porte la promesse du printemps. Il pose cependant la question de savoir dans quelle mesure ces mois d’hiver froids avec des jours courts affectent notre santé mentale, et quelles sont les répercussions liées à l’humeur d’un manque de soleil.
Quel que soit le mois, les problèmes de santé mentale ajoutent une couche de complexité supplémentaire à la vie des personnes vivant avec des troubles d’apprentissage. Les défis auxquels sont confrontés les enfants, les jeunes et les adultes diagnostiqués avec des troubles d’apprentissage peuvent être vastes, et maintenant, plus que jamais, nous avons besoin d’une forte défense des droits pour soutenir ces personnes vivant avec des troubles neurodéveloppementaux tels que les troubles d’apprentissage.
L’Association canadienne des troubles d’apprentissage (ACTA) s’efforce de défendre et de soutenir la communauté, avec du personnel et des bénévoles engagés dans une gamme d’activités, telles que le partage de recherches et de meilleures pratiques ; tout cela dans le but d’avoir un impact positif sur les personnes vivant avec des troubles d’apprentissage à travers le pays. Si vous êtes intéressé à soutenir l’ACTA, ou votre organisation provinciale ou territoriale, que ce soit en faisant du bénévolat ou en faisant un don, contactez-les et voyez quelle différence vous pouvez faire.